Enfin, enfin, l’automne daigne laisser sa place. Accroché au pouvoir comme un vieux dictateur gonflé d’orgueil, il s’était attaché à traquer, implacablement, les moindres incursions du soleil. Aucune opposition n’avait permis de chasser la pluie. Même les grenouilles se lamentaient de la monotonie imposée par le temps. Et nous alors ! Nos peaux, pourtant imperméables, usées…